{LIVRE I } [Chapitre II]Sur le chemin

[Elissa]

Elissa marchait depuis plusieurs jours. Il faisait nuit et elle vit au loin un campement, qu'elle décidait de rejoindre pour passer la nuit, si c'était possible. La compagnie était insolite: hobbit, elfe, homme... Elle les interpellait
-Salut à vous, je suis Elissa de la lointaine contrée d'Angmar. Puis-je vous rejoindre pour la nuit, et plus si cela ne vous dérange ?

[Pad']

Padmé quitta la douce chaleur des bras de son aimé pour venir serrer la main à la jeune femme.
_ Bonsoir, je suis Padmé. Pour rester ici, il faut vous adresser à L'Ancien ou bien à JDW. ^^
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Ce qui est à moi... est à moi ! Et ce qui le fut un jour le demeure à jamais.

[Elissa]

Elissa s'avanca en souriant vers l'arbre où tronait le hobbit
-Est-ce-que vous-me permettez de rester parmi vous, du moins pour un moment, s'il vous plaît?

[L'Ancien]

l'ancien ouvrit un oeil
Mademoiselle , ce ne pas commun de voir une fille aussi belle que vous se balader la nuit , et je serais enchanté de vous voir partager notre foyer ! dit -il en faisant un petit signe de la tête Bonne nuit !
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Nous aurons le destin que nous aurons mérités !
A.Einstein

[Elissa]

Elissa fut flattée du compliment.

- Merci beaucoup, c'est trop aimable à vous. Bonne nuit !

Elle était exténuée par sa marche. Elle déplia une petite couverture de laine brune, déchaussa ses bottes de cuir rouge sang, lacha ses cheveux et se laissa tomber dans le royaume de Morphée, la dague toujours accrochée à la ceinture de cuivre.

[Agnar]

Agnar comtempla la demoiselle, puis il reposa sa tete en arriere, ferma ses yeux et se mit a penser a son peuple qui lui etait precieux. Une longue route l'attendait, il savait que le temp etait compté, la chance etait la son unique chance survie[i]
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"Cruauté reveille-toi ! Qu'importe le courroux, qu'importe la ruine, et que l'aube soit rouge !!!" !

[JDW]

Et la nuit passa, une belle nuit, comme les autres d’ailleurs…
Ne dormant que d’un œil, Joldwin repensa a ce qui c’était passer un peu plus tôt dans la soirée. La nouvelle venue, la disparition en toute discrétion (pour un humain) de l’aubergiste, le guilde partit en éclaireur…
Puis, il songea a l’avenir, au voyage qui les attendait, a leurs arrivée, comment seraient-ils donc accueillis. Enfin, au présent, car le plus important, ce n’est pas ce qu’il y a derrière nous, ni ce qu’il y a devant nous, mais le sentier ou nous sommes en ce moment. C’était une chose que lui avait souvent appris son tuteur. Peut être le reverrait-il une fois là bas ? Le soleil était levé depuis plus d’une heure, Joldwin leur en accorda une autre. Car il était fort probable que ce serait leurs dernière paisible nuit avant de longs mois.

- « Il est temps de se lever l’Ancien, je vais réveiller les autres. Si tu pouvais leurs préparer un de tes petit déjeuner dont tu as le secret, ils risquent d’en avoir besoin. AGNAR ! les nouvelles du guide ? »

L’Elf secoua la tête.

- « Aucun signe de lui, il nous attend peut-être plus haut. »

Pendant que l’Ancien s’exécutait a préparer avec ferveur le repas, les autres voyageurs se levaient, et se préparaient comme ils le pouvaient, a l’incroyable aventure dans laquelle il s’étaient engager.

- « Où est l’aubergiste ? » demanda Padmé a moitié réveiller.
- « Il a eu une sorte de lucidité soudaine lorsqu’il fût dessaouler. » Répondit sans aucune ironie Joldwin

-« Dépêchons les amis, la route est longue, et il fera chaud aujourd’hui ».

Ils prirent alors tous leurs repas, et félicitaient l’Ancien pour sa brillante sauce, façon Hobbit

- « Vous n’en voulez pas messieurs les Elfs ? » demanda Rey
- « Allons, tu rigole, répondit Agnar, tu veux dire que tu peut réellement marcher après avoir ingurgiter tout ça ?Il va te falloir bientôt changer de cape mon ami ! » Et ils rirent, comme si rien n’était.

Apres avoir convaincu le Hobbit qu’ils étaient rassasier, la troupe se mit en marche.
L’ancien plonger dans ses pensées.

-« Ca me rappel une histoire tout ça, celle de Frodon aux neuf doi…hey !!! attendez-moi ! »
- « force l’allure compagnon, j’espère arriver au moulin de Maggy avant la tombée de la nuit » Fini Joldwin
Discutant entres elles, les deux jeunes filles de la compagnie avaient par moment des bouffées de rire qui semblais mettre mal alaise Rey, remarqua l’Elf. Ce dernier marché a ses coté, a l’avant du groupe.

[Rey de Kercyan]

Cela faisait bien longtemps que Rey n'était pas partis en vadrouille dans la nature, il n'était déjà pas trés à l'aise hors des villes, de ses rues pavées, de ses gens loufoques, de ses filles... Mais là en pleine nature... Et ses deux filles ravissantes qui rient, "Rient-elles de moi?" se dit-il,"Bon, Reyan, concentre-toi sur la route, fais attention à toi, protège Padmé, mais surtout joue bien la comédie, personne ne dois savoir..."
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"Hardi compagnon, le choc va être rude. Peut-être devrais-tu demander à ton palefrenier qu'il t'harnache sur ta selle pour t'éviter de mordre la poussière trop brutalement..." Tristan de Rokancourt

[Celeborn de Lorien]

Désolé de vous avoir fait attendre... Je contemplais les étoiles, et lorsqu'un Elfe est plongé dans une contemplation, il faudrait que ça soit Sauron lui-même qui vienne le réveiller... Mais bon, trêve de discours, partons avant qu'il ne soit trop tard !
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"We are at war with forces too terrible to comprehend. We cannot afford mercy for any of its victims too weak to take the correct course. Mercy destroys us; it weakens us and saps our resolve. Put aside all such thoughts. They are not worthy of Inquisitors in the service of Our Emperor. Praise his name for in our resolve we only reflect his purpose of will."

Inquisiteur Enoch, "Castigations on the Last Days"

[Pad']

[ HJ: Elissa m'a donner, par texto, la permission de faire jouer son perso jusqu'à ce qu'elle revienne parmi nous, le 8 ou 9 août. ]


La jeune fille détaillait le paysage tout en écoutant, les bruits autour d'elle et les propos de sa nouvelle amie. Elle croisa le regard de Rey. Une étrange lueure brillait dans le fond de ses yeux... Devait-elle s'inquièter ? Elle quitta Elissa pour se rapprocher de son amour:

- " Quelque chose ne va pas ? "
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Ce qui est à moi... est à moi ! Et ce qui le fut un jour le demeure à jamais.