Grand concours de poèmes

[Finrod]

bon j'y vais, je me lance et j'affiche mon truc pourri :

Le silence sur Valinor s'est abattu ;
Plus de pleurs, ni cris, ni bruit, ni agitation,
Nienna, devant Laurelin et Telperion s'est tu,
Plus de chants dans la blanche Cité de Tirion.

Vanyars et Noldors ont cessé de pleurer,
Les Valars et les Maiars de se lamenter ;
Seuls, les Teleri, dans le port d'Alqualondë,
Par l'ombre, la peur et la mort point ne sont touchés.

Tout à l'heure, une révolte va éclater
Sur la verte Tuna, par Fëanor guidée ;
Les Noldors, le Royaume Béni vont quitter,
Et la grande Belegaer vont traverser.

Mais pour l'instant, le silence est maître ici-bas
Depuis que les Lumières Bénies ne sont plus
Comme les deux grandes Lampes au Printemps d'Arda,
Iluin et Ormal, par Melkor abattues.



Si je l'améliore, je renvoie le poème amélioré.
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There's a feeling I get when I look to the west, and my spirit is crying for leaving.

[Finrod]

Et voila la version définitive :

Ainaldalindë (le Chant des deux Arbres)

Le silence sur Valinor s'est abattu ;
Plus de pleurs, ni cris, ni bruit, ni agitation,
Nienna, devant Laurelin et Telperion s'est tu,
Plus de chants dans la blanche Cité de Tirion.

Vanyars et Noldors ont cessé de pleurer,
Les Valars et les Maiars de se lamenter ;
Seuls, les Teleri, dans le port d'Alqualondë,
Par l'ombre, la peur et la mort point ne sont touchés.

Tout à l'heure, une révolte va éclater
Sur la verte Tuna, par Fëanor guidée ;
Les Noldors, le Royaume Béni vont quitter,
Et la grande Belegaer vont traverser.

Mais pour l'instant, le silence est maître ici-bas
Depuis que les Lumières Bénies ne sont plus
Comme les deux grandes Lampes au Printemps d'Arda,
Iluin et Ormal, par Melkor abattues.

Elemnire le Vanyar compose son chant
Que connaît tout Eldar, Noldor ou Teleri
Sa voix solitaire s'élève dans la nuit
Tandis qu'au loin fuient Melkor et Ungoliant.

Ce Seigneur, bientôt appelé Morgoth, ainsi
Que cette immonde bête en Endor reviennent
Tous deux ensemble ils contournent les Pelori
Ils ont aussi, crime affreux, vidé les Citernes.

Morgoth à Formenos tua le Roi Finwë,
Qui, pour suivre son fils, là s'était exilé.
De ce château, Melkor le trésor emmena
Aussi les Silmarils qu'en sa main il cacha.

Joyaux bénis qu'avec art Fëanor forgea,
En leur sein ils recèlent la beauté d'Arda.
Tout être, à cause de cela, les convoita,
Devant eux, Thingol, la sagesse abandonna.

Deux cadavres se dressent sur Corollairë
Restes d'Arbres, par Ungoliant empoisonnés.
Après eux, le Soleil et la Lune viendront,
Isil de Nacre, Anar au Feu d'or, s'appeleront.

Mais ils ne peuvent rendre d'antan la lumière
Celle qui, crée par Yavanna la Valier
Illuminait Aman ainsi qu'Eressëa
Chassait les ombres et réjouissait Varda.

Mais le poison de l'Araignée les a tués
Le blanc Telperion et Laurelin le doré
Sur Ezellohar, ils se dressent maintenant
En donnant un dernier fruit leur vie achevant.

Autour de la colline danse Yavanna
A côté d'elle chante sa soeur Nienna
Les beaux Vanyars les accompagne de leurs chants,
Les Noldors rentrent à Tirion en se lamentant.

Parmi ceux-ci la révolte va éclater
Elle que depuis longtemps on entendait gronder
Grâce au terrible Serment de Fëanor
Morgoth détruit les beaux jours de Valinor.



si les deux derniers vers n'ont que 11 syllabes, c'est normal, c'est pour la chute
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There's a feeling I get when I look to the west, and my spirit is crying for leaving.