{LIVRE II } [Chapitre II ]Au lever du Jour ..

[Elissa]

Un long râle vint détromper l'assemblée peu ou prou crédule : Elissa semblait fort mal en point. Elle n'avait guère repris conscience que pour tenter de menacer l'individu qui manquait par son acte de l'achever. Crispée, accrochée aux vêtements de celui qu'elle aimait, elle pourrait tout aussi bien mourir qu'il croirait toujours l'avoir sauvée.
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Rien.

[Pad']

N'y tenant plus, Nindë décida de prendre les choses en main :

_ "Taldatur, confiez-moi votre dame."

Pendant que le rohirrim s'exécutait, l'érudite se tourna vers son époux et lui énuméra une petite liste de plantes à aller chercher. Cerdhan s'enfonça dans les bois environnants.
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Ce qui est à moi... est à moi ! Et ce qui le fut un jour le demeure à jamais.

[Icare]

Interrompue dans son inspiration pour commencer à chanter, Icarus laissa voir sa déception, et regarda, sceptique, une de ses compagnes de route agoniser, dans, semblait-il, d'atroces souffrances.
-"Que cette blessure est laide !" souffla-t-elle, en voyant l'espèce d'écume faite par le liquide rouge de l'inconnu. Elle se tourna vers lui, un air de dégoût sincère et non dissimulé sur le visage. "Mon brave, votre talent médicinal semble contestable."
Une idée de génie traversa soudain son esprit assez lent, et elle entreprit de chanter une berceuse pour apaiser la malade, alors que Nindë la soignait.
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� Nous cr�ons � notre mesure et � notre mani�re d�riv�e, parce que nous sommes cr��s, mais cr��s � l'image et � la ressemblance d'un Cr�ateur. � Tolkien

�Celui qui ne s�occupe pas de son estomac, s�occupera difficilement d�autre chose.� Samuel Johnson

[Elissa]

Elissa croyait que ses sens étaient endormis. Elle ne ressentait rien, ou parfois la douleur. Elle ne sentait rien, aucun parfum. Elle ne voyait rien, aucune lumière.
Elle croyait ne rien entendre, mais quelque chose lui perça finalement les tympans : Icare chantait.

Elissa se mit à crier tant le son était insupportable à son esprit fatigué. Elle se débattait, souhaitant que cette douleur, que ces douleurs cessent.
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Rien.

[JDW]

l'ancien repasse dimanche, dans ce laps de temps, vous pouvez continer a avancer a une allure correcte, sans pour autant atteindre votre but (c'est que que le vieil hobbit jouflu a dit ^^) Quand a moi, à la Cel-Style, je me lance dans une petite cross-story, et nous nous rejoindrons si L'ancien le veux bien, dimanche!

-Ca serra gratuit pour vous ce soir mes amis, le groupe des « Sentinelles » dans mon auberge vaux bien une tournée de biere comparé à la sécurité qu’elle m’offre !
-Beni sois-tu aubergiste ! Lança un des membres du groupe.

Ils etaient huits, autour de la table, ils portaient tous une cape verte emeraude. Ils etaient connu dans la région. Les « Sentinelles » comme ils se faisaient appeler, étaient des protecteurs, gardiens des faibles, mais non des lois (ce qu’ils leurs avaient valus quelques mésaventures avec la garde de certains villages par le passé). Un homme se leva, et donna le signal du repos.

- Déjà Lenwë ? ne me dis pas qu’on se lève encore a l’aube demain ! Râla une jeune femme, fort robuste mais d’un physique plus que moyen.
- Entends toi Nèleda, on dirais un gosse qui refuse d’aller dormir le soir avant l’histoire du grand père ! se moqua Lenwë. Les traites que nous pourchassons sont imprévisibles, et ayant brillamment perdu leurs traces la nuit précédente, nous ne pouvons nous attarder longtemps en ce lieu, qui sait ce qu’ils sont capables de faire…

Ne bataillant pas plus, la troupe se dirigea vers les chambres de l’auberge.
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[Celeborn de Lorien]

Le bois était sombre, comme Fangorn. Les arbres noueux étaient tellement reserrés qu'ils formaient une véritable muraille infranchissable. Cerdhan se remémora la liste des plantes à aller cueillir, sachant pour la plupart où les trouver.

Mmmmh, certaines plantes ne seront pas trouvables ici. Mais on devrait pouvoir faire avec.

Un bref craquement de brindilles.

Qu'est-ce ?

Une biche détala comme une dératée vers les profondeurs du bois. Intrigué, le rôdeur elfique s'avança vers ce qui semblait être une clairière. Une odeur de putréfaction en émanait ; odeur qui devenait clairement insupportable au fur et à mesure qu'on s'approchait de la sommière.
A tel point qu'il du se pincer le nez pour ne pas sombrer dans l'inconscience.
La vision cauchemardesque dépassa ses espérances : une dizaine de corps calcinés, horriblement mutilés trônaient là dans une horrible mascarade. Des têtes étaient empalées sur des piques, le symbole de l'Oeil tatoué à la va-vite sur le front. Des entrailles étaient éparpillées sur le sol, entremêlées avec des flaques de sang. Aucun signe de lutte ; les victime avaient dues probablement être faites prisonnières ailleurs avant d'être amenées ici et exécutées. Les corps semblaient plus ou moins entier, signe que les orcs ne les avaient pas mangés.

Par la grâce des Valar ! Je dois prévenir les autres. !

Il commença à faire un pas en arrière, avant de se rappeler...

Les plantes, oui... Je dois faire attention, certains yrch doivent être restés dans le bois. Et je ne me fairai pas avoir une seconde fois !
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"We are at war with forces too terrible to comprehend. We cannot afford mercy for any of its victims too weak to take the correct course. Mercy destroys us; it weakens us and saps our resolve. Put aside all such thoughts. They are not worthy of Inquisitors in the service of Our Emperor. Praise his name for in our resolve we only reflect his purpose of will."

Inquisiteur Enoch, "Castigations on the Last Days"

[JDW]

Lenwë ne manqua pas à sa promesse d’un réveil matinal. Lorsque tous furent rassasiés, ils équipèrent leurs chevaux et se mirent en route. Ils avançaient rapidement, les plaines environnantes offraient peu de protections à ceux qui veulent se faire discret. Lorsque enfin ils atteignirent le bois, le soleil était déjà haut dans le ciel, et leurs estomacs ne manquaient pas de leurs rappeler.

- « J’ai faim ». Grogna un homme barbu et musclé.
- « Nous avons tous faim Dirk, Lenwë, arrêtons-nous là, les arbres nous protégerons, et de toute façon, nous ne pouvons combattre efficacement le ventre vide ! » Fît remarquer un jeune garçon, qui devait certainement représenter l’extrême opposé du physique de Dirk.
- « Très bien, nous mangerons ici, nous repartirons le plus vite possible, alors ne perdez pas de temps. » Termina Lenwë.

La compagnie mit le pied à terre, et Nèleda ouvrit un grand sac de rations, pour les distribuer au groupe. Appuyer contre les arbres, par mesure de précaution, les Sentinelles se délectaient des produits de la ferme qui les avait accueillie il y a deux nuits.

- « Eh, Lenwë, si tu faisais un point sur toute cette histoire, je veux être certain d’avoir tout compris ! » Demanda le jeune homme.
- « D’accord. Comme vous le savez, il y a deux mois, lorsque nous avons trouvé cette femme agonisante au sol, souillée et rouée de coups, sur la route Est, nous avons décidé de retrouver ses agresseurs et de les faire payer leur ignorance. Après quelques rencontres avec les roublards du coin, nous avons découvert que nos hommes étaient bien plus puissants et organisés que nous ne l’imaginions, et que leur crime n’était qu’une goutte comparée aux actions qu’ils avaient commises ces 3 derniers mois. Ils sont tout comme nous, une compagnie, mais dévouée aux crimes et à l’enrichissement par tout les moyens possible, dussent-ils égorger pour cela. Dérédan et toi, Jurèn, lors de vos missions d’éclaireurs, en avaient compté douze, lourdement armés, et bien entraîné si l’on en croit la vitesse a laquelle ils ont vaincu la milice locale. »
- « Ils ne me font pas peur ! » rugit Dirk
- « Je ne te demande pas d’en avoir peur, juste de t’en méfier, laisse moi finir maintenant » reprit Lenwë. « Donc, lors de notre tentative d’embuscade, la semaine dernière, nous avons été surpris par leur fauconnier et son animal, qui nous surveille depuis le ciel, et nous avons dut partir rapidement avant d’être réduit en chair a gobelins. Depuis, ils savent que nous les cherchons pour les faire périr sous nos coups, mais nous sommes aujourd’hui à la fois les prédateurs et la proie, car nous nous cherchons mutuellement, reste à savoir de qui verra l’autre en premier… C’est pourquoi nous ne devons pas rester immobiles, nous devons les pister sans pour autant prendre le même chemin qu’eux, nous ne devons pas les rencontrer de face, où les conséquences en seraient terribles. Je ne remets pas en cause nos talents guerriers mes frères et sœurs d’armes, mais soyons réaliste, à un contre un, ou par surprise, nous avons nos chances, mais à douze contre huit, les pertes seraient catastrophiques et notre victoire compromise. »

Lenwë marqua un temps d’arrêt, tous autour de lui était conscient de la dangerosité de leur mission, mais ils étaient également convaincus de l’utilité de la chose, et prêt à verser leurs sangs pour leurs idéaux de justice.

- « Bien, il est temps d’y aller, repartons avec gaieté mes amis, la vie et courte et il faut en profiter autant qu’il faut la défendre ! » S’exclama Lenwë.

La compagnie reprit son chemin avec sérénité, mais leurs ombres s’épaississaient.

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[Pad']

Attendant toujours que son époux émerge de la forêt, Nindë épongeait le front de sa camarade avec un soin maternel.
Levant des yeux brûlants sur le singulier personnage qui était toujours débout près d'eux, l'elfe marmonna :

_ " Saura-t-on le nom du fameux "sauveur" ? "

L'ironie n'était même pas dissimulée.
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Ce qui est à moi... est à moi ! Et ce qui le fut un jour le demeure à jamais.

[L'Ancien]

L'Ancien revientttttttttttt

L'Ancien et Rey regardaient avec insistance le nouveau venu .
En effet , dit l'ancien , si vous avez réussi à concocter cette étrange potion , vous ne devez certes pas être un voyageur de fortune !

L'ancien mit de l'herbe dans sa pipe en attendant la réponse




C'est court , je sais ,mais j'ai pas pu me connecter ( mot de passe sur le pc ) , mais vous inquietez pas , pendant ces vacances ,ca va donner !!
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Nous aurons le destin que nous aurons mérités !
A.Einstein

[Un poisson nommé Gobi]

Ivellios.

Il avait parlé très vite,visiblement en pensant à autre chose... Il semblait amusé par la situation, il avait voulut aider la jeune guerrière, mais sa potion n'avait visiblement pas les même effets que sur lui.

Je suis vraiment désolé, mais cette potion était sensé la soigner... peut-être y met-elle de la mauvaise volonté... Ou alors la lame qui l'a blessé était probablement empoisonnée, et, héhé, le poison semble réagir avec les ingredients de ma potion !! fascinant n'est-ce pas ?
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Toute chose a une fin, sauf le saucisson qui en a deux.

L'ennemi se déguise parfois en géranium, mais on ne peut s'y tromper, car tandis que le géranium est à nos fenêtres, l'ennemi est à nos portes