{LIVRE I } [Chapitre I]Dans une taverne...

[L'Ancien]

en rentrant à l'auberge , le hobbit entendit cette chanson et poussa un long soupir de desespoir que l'aubergiste vu
_________________
Nous aurons le destin que nous aurons mérités !
A.Einstein

[Rey de Kercyan]

Rey entendit la chanson... Malgré son statut de ménestrel, il ne reconnut pas immédiatement cette mélopée... La mélodie finie, il vit en haut de l'arbre le guide qui les conduirait jusqu'à Mirkwood... Il prit Padmé par la main et fit demi-tour, les rues étaient désertes et la lune était visible... On entendait seulement le bruissement des feuilles et les bruits de pas dans la neige... Puis écoutant son coeur, il tourna dans une rue, la jeune fille au bras, et pris la route pour la tour Altae, qui domine toute la ville et qui est toute proche...
_________________
"Hardi compagnon, le choc va être rude. Peut-être devrais-tu demander à ton palefrenier qu'il t'harnache sur ta selle pour t'éviter de mordre la poussière trop brutalement..." Tristan de Rokancourt

[Agnar]

Puis Agnar, vit par la fenetre les deux personne qui partaient en direction de la tour, dans sa tete, il se demandait pourquoi tout le monde se cachaient les choses qu'elles eprouvent, il savait bien que rey et la jeune fille se gardaient en secret chacun de leur coter leurs sentiments qu'ils eprouvaient au fin fond d'eux memes pour l'un a l'autre, comme cet aubergiste qui avait aussi son secret, car il avait dans sa facon de se comporter quelque chose qu'il ne voulait pas remettre a la surface, ca devait rester cacher en lui pour un long moment, Agnar quand a lui, savait que le mal qui le rongeait finisserai par le tuer, mais il ne pouvait rien contre cela, les mages de sa race avaient tout essayé pour le guérir, rien ne fit son effet, c'est pour cela qu'il doit trouver par lui meme de vaincre sa maladie, il maudissait par dessus tout ces orcs, qui avaient attaqué la citée ou il vivait avec ceux de son peuple, beaucoup avaient périent, et lui, il recu une flèche d'une de ces creatures, il a recu dans l'omoplate gauche, la flèche etait empoisonné d'une substance meconnue par les siens, le temp lui était compter, il savait que sans doute il ne retrouverait jamais les siens !! Il s'asseya sur une chaise de sa chambre, et y resta pendant un long moment !!
_________________
"Cruauté reveille-toi ! Qu'importe le courroux, qu'importe la ruine, et que l'aube soit rouge !!!" !

[Pad']

Elle regardait les rues défilées, et même si elles étaient d'une pâleur certaine, elle était heureuse de se trouver là, avec cette personne ... Brusquement, elle eut peur que tout ne fu qu'un rêve ; alors elle se pelotonna contre le bras de son ami. Non, il était bel et bien là, avec elle.
Mais où l'emmenait-il ?

[Rey de Kercyan]

Au loin se dessinait la silhouette altière de la tour, on voyait le moulin installé dessus... La jeune femme lui tenait fermement le bras... Rapidement ils furent à la tour... Sur la porte, une interdiction de la milice mais heureusement aucun garde... D'une main sûr il sortit son crochet de serrurerie et crocheta la grosse serrure avec un doigté précis qui montrait qu'il avait une certaine habitude de ce genre d'acte... La lourde porte de chêne s'ouvrit, un arbre de transmission tournait en face d'eux et sur la droite un escalier en collimasson ammenait au sommet de la tour. Ils l'empreintèrent et arrivés en haut la ville se dévoila devant leurs yeux, Héole... Malgré le bruit redondant du moulin, la scène était des plus romantique, les lumières omniprésentes...
_________________
"Hardi compagnon, le choc va être rude. Peut-être devrais-tu demander à ton palefrenier qu'il t'harnache sur ta selle pour t'éviter de mordre la poussière trop brutalement..." Tristan de Rokancourt

[Pad']

-OOOhhhhhh... Comme c'est beau !
Elle rit et s'approcha du bord.
-Les choses paraissent petites d'ici...
Elle se pencha un peu plus...

[Rey de Kercyan]

"-Prenez garde de ne pas tomber..."
Puis il la regarda, s'adossant à une des colonnes prés de l'arbre de transmission... La cité était splendide d'ici, on voyait les autres tours, basées sur le même principe: Cenglefeux, Himin-hel... Et l'on voyait aussi le palais du baron de Soufflecor... Allumé de milles braseros de toutes les couleurs et le ciel leur offrit un spectacle des plus extraordinaire... Dans un claquement sourd, des lumières vertes, bleues apparurent dans le ciel, un feux d'artifice... Il s'approcha alors de la jeune femme émerveillée par le spectacle et la serra fort contre lui...
_________________
"Hardi compagnon, le choc va être rude. Peut-être devrais-tu demander à ton palefrenier qu'il t'harnache sur ta selle pour t'éviter de mordre la poussière trop brutalement..." Tristan de Rokancourt

[Pad']

Le spectacle était superbe. L'étreinte de Rey la fit frissoner. Elle passa ses bras autour de son coup et lui murmura à l'oreille :
-Je veux que vous fassiez attention à vous demain. Je vous en supplie, il faut que vous restiez en vie, que vous restiez avec moi.

[Rey de Kercyan]

"Ne vous inquietez pas pour moi, prenez soin de vous... nous veillerons l'un sur l'autre durant ce voyage... Mais expliquez de grâce pourquoi vous vous êtes enfuit en disant " ça je ne le sais que trop bien..."
Reyan avait peut-être posé la mauvaise question au mauvais moment mais il voulait simplement mieux la connaître...
_________________
"Hardi compagnon, le choc va être rude. Peut-être devrais-tu demander à ton palefrenier qu'il t'harnache sur ta selle pour t'éviter de mordre la poussière trop brutalement..." Tristan de Rokancourt

[Pad']

Son regard se glaça quand elle entendit la question. Face à un autre, elle aurait surement garder le silence mais ... (elle le regarda dans les yeux) ... il s'agissait de Rey ... Elle se décida d'expliquer et toute tremblottate, elle pris la parole, l'air semblait s'être rafraichit, couvrant sa peau de se que l'on appelle chez les hommes "chair de poule" :
- C'est mes parents. Ils ont été poingnardés... dans le dos... ainsi que mon frère, il n'avait que 10 ans ...
Elle pleurait à chaudes larmes:
-Quelle sorte de lâche est capable d'une telle chose ?
Elle couvrit son visage de ses mains.
-Alors je me suis enfuie, loin, avant que ce ne soit mon tour ... Comme je le regrette, j'aurais peut-être pu faire quelque chose ...